Éric Naulleau : « Le sport, mémoire nationale »
Le chroniqueur décrypte les grands événements dans « On revit
le match ».
Éric Naulleau lève le voile sur « On revit le match », l'émission qu'il
coanime le samedi à 19 heures jusqu'au 3 août.
LE FIGARO. - Comment est né « On revit le match » ?
Éric NAULLEAU. - C'est à mon complice et coanimateur Thierry Chèze que revient l'idée : à partir d'un grand événement sportif, on revisite l'actualité politique, socio-économique, les films et les émissions télé de l'époque. Le concept : rendre hommage à la mémoire nationale, pour que les Français parlent aux Français. Les archives de la radio sont une vraie malle aux trésors, dont nous reprenons les flashs, les commentaires... Nous recevons un grand témoin, parfois inattendu. Chacun apporte une couleur différente : Alain Duhamel était sérieux, Valérie, la veuve de Laurent Fignon, très émouvante.
Comment avez-vous sélectionné les événements ?
Nous avons choisi les plus emblématiques de ces trente dernières années, victoires comme défaites. La discipline reine, le football, a droit à deux numéros, l'un consacré au mondial 1998 et l'autre à l'élimination de la France en 1982. On parle d'athlétisme avec la première médaille olympique de Marie-José Pérec et de Laure Manaudou ou, ce samedi, de F1 avec les succès d'Alain Prost.
Quelle confrontation sportive vous a personnellement le plus marqué ?
La défaite aux tirs au but, à la dernière minute, des Bleus en demi-finale du mondial de 1982 face à la RFA. Ce fut une tragédie grecque. J'étais chez mes grands-parents à Saint-Cloud et j'ai ressenti une immense tristesse.
LE FIGARO. - Comment est né « On revit le match » ?
Éric NAULLEAU. - C'est à mon complice et coanimateur Thierry Chèze que revient l'idée : à partir d'un grand événement sportif, on revisite l'actualité politique, socio-économique, les films et les émissions télé de l'époque. Le concept : rendre hommage à la mémoire nationale, pour que les Français parlent aux Français. Les archives de la radio sont une vraie malle aux trésors, dont nous reprenons les flashs, les commentaires... Nous recevons un grand témoin, parfois inattendu. Chacun apporte une couleur différente : Alain Duhamel était sérieux, Valérie, la veuve de Laurent Fignon, très émouvante.
Comment avez-vous sélectionné les événements ?
Nous avons choisi les plus emblématiques de ces trente dernières années, victoires comme défaites. La discipline reine, le football, a droit à deux numéros, l'un consacré au mondial 1998 et l'autre à l'élimination de la France en 1982. On parle d'athlétisme avec la première médaille olympique de Marie-José Pérec et de Laure Manaudou ou, ce samedi, de F1 avec les succès d'Alain Prost.
Quelle confrontation sportive vous a personnellement le plus marqué ?
La défaite aux tirs au but, à la dernière minute, des Bleus en demi-finale du mondial de 1982 face à la RFA. Ce fut une tragédie grecque. J'étais chez mes grands-parents à Saint-Cloud et j'ai ressenti une immense tristesse.
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