Les centimètres de la discorde
Pourquoi les femmes mesurent-elles en moyenne 15 centimètres
de moins que les hommes ? Enquête.
Mettre des talons hauts pour ne pas se tordre le cou quand on dévisage son
vis-à-vis. Régler le siège de la voiture après le passage de Monsieur. Quelle
femme n'a jamais maudit le fait d'être plus petite que les représentants du sexe
dit fort ? En moyenne, elles mesurent 15 cm de moins qu'eux. Une inégalité
veille comme le monde sur laquelle la chaîne Arte a la bonne idée de se pencher,
ce vendredi, avec un documentaire ludique intitulé en toute simplicité Pourquoi
les femmes sont-elles plus petites que les hommes ?.
Une bonne dose d’humour
En sciences, les questions les plus évidentes ne sont pas forcément celles qui appellent les réponses les plus aisées. Cette différence de stature que les scientifiques ont baptisé «dimorphisme sexuel de taille» n’est pas une fatalité. Chez de nombreuses espèces animales, des mantes religieuses à certaines races de lézard, les femelles sont plus imposantes que les mâles. Sans oublier le plus grand mammifère vivant sur terre, la baleine bleue. La logique voudrait même que les femmes soient le plus grandes possible pour mettre au monde et élever leurs enfants en toute sécurité.
Pour percer le mystère, la réalisatrice Véronique Kleiner procède par déductions successives, passant en revue théorie de l’évolution, sélection naturelle, stratégie de séduction, génétique et alimentation. Cette foule d’explications est servie avec une bonne dose d’humour grâce au détournement de films et d’images d’Épinal. Les scientifiques interrogés ont aussi accepté de révéler leur taille. Une enquête aux conclusions inattendues qui, au-delà de la science, nous interroge, in fine, sur la place de la femme dans une société définie par les hommes.
Une bonne dose d’humour
En sciences, les questions les plus évidentes ne sont pas forcément celles qui appellent les réponses les plus aisées. Cette différence de stature que les scientifiques ont baptisé «dimorphisme sexuel de taille» n’est pas une fatalité. Chez de nombreuses espèces animales, des mantes religieuses à certaines races de lézard, les femelles sont plus imposantes que les mâles. Sans oublier le plus grand mammifère vivant sur terre, la baleine bleue. La logique voudrait même que les femmes soient le plus grandes possible pour mettre au monde et élever leurs enfants en toute sécurité.
Pour percer le mystère, la réalisatrice Véronique Kleiner procède par déductions successives, passant en revue théorie de l’évolution, sélection naturelle, stratégie de séduction, génétique et alimentation. Cette foule d’explications est servie avec une bonne dose d’humour grâce au détournement de films et d’images d’Épinal. Les scientifiques interrogés ont aussi accepté de révéler leur taille. Une enquête aux conclusions inattendues qui, au-delà de la science, nous interroge, in fine, sur la place de la femme dans une société définie par les hommes.
Labels: le figaro.fr
0 Comments:
Post a Comment
<< Home