Des X-Men si discrets
Les super-héros de la série « Alphas » aident la police à
résoudre des crimes.
Vous êtes paisiblement à votre poste de travail quand votre téléphone sonne
et qu'un texto vous donne rendez-vous à une mystérieuse adresse. Soudain, tous
les écrans, tous les panneaux publicitaires et tous les passants que vous
croisez vous murmurent qu'il est l'heure de tuer et d'appuyer sur la gâchette.
Bienvenue dans le mystérieux monde d'Alphas, la nouvelle série
américaine de science-fiction que lance NRJ12 ce mercredi soir.
De nos jours, le cerveau humain a subi une ultime évolution. Certains individus, qualifiés d'« Alphas », développent des capacités neurologiques exceptionnelles (force accrue, sens décuplés) dignes des super-héros. À New York, le psychiatre de renom Lee Rosen (David Strathairn) encadre quatre de ces petits génies, les aidant à maîtriser leurs dons.
Ensemble, ils assistent les autorités dans les affaires criminelles commises par d'autres Alphas. Cependant, l'équipe va vite se retrouver aux prises avec le groupuscule terroriste du Drapeau rouge, une organisation d'Alphas renégats. À mi-chemin entre les mutants de X-Men et ceux de Heroes, Alphas tente de concilier l'univers des super-héros et celui des séries policières. En mentor et père spirituel, David Strathairn (Good Night and Good Luck) est particulièrement charismatique.
Remarqué dans Bones, où il jouait Vincent Nigel Murray, l'un des internes les plus attachants de l'Institut Jefferson, Ryan Cartwright vole la vedette à ses coéquipiers en campant un surdoué autiste, Gary, capable de capter les ondes électromagnétiques.
Avec ses protagonistes maladroits et parfois amateurs, Alphas prouve que l'on peut montrer des super-héros à l'écran sans avoir à recourir à une cascade d'effets spéciaux. De quoi passer un bon moment.
De nos jours, le cerveau humain a subi une ultime évolution. Certains individus, qualifiés d'« Alphas », développent des capacités neurologiques exceptionnelles (force accrue, sens décuplés) dignes des super-héros. À New York, le psychiatre de renom Lee Rosen (David Strathairn) encadre quatre de ces petits génies, les aidant à maîtriser leurs dons.
Ensemble, ils assistent les autorités dans les affaires criminelles commises par d'autres Alphas. Cependant, l'équipe va vite se retrouver aux prises avec le groupuscule terroriste du Drapeau rouge, une organisation d'Alphas renégats. À mi-chemin entre les mutants de X-Men et ceux de Heroes, Alphas tente de concilier l'univers des super-héros et celui des séries policières. En mentor et père spirituel, David Strathairn (Good Night and Good Luck) est particulièrement charismatique.
Remarqué dans Bones, où il jouait Vincent Nigel Murray, l'un des internes les plus attachants de l'Institut Jefferson, Ryan Cartwright vole la vedette à ses coéquipiers en campant un surdoué autiste, Gary, capable de capter les ondes électromagnétiques.
Avec ses protagonistes maladroits et parfois amateurs, Alphas prouve que l'on peut montrer des super-héros à l'écran sans avoir à recourir à une cascade d'effets spéciaux. De quoi passer un bon moment.
Labels: le figaro.fr
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