La drôle de machine de « Person of Interest »
La deuxième saison de la série démarre sur les chapeaux de
roues.
Un ordinateur intelligent et même doué d'émotions. Pour sa deuxième saison,
qui débute ce mardi soir sur TF1, Person of Interest lève le voile sur
la star silencieuse de la série, signée par le coscénariste de la trilogie des
Batman, Jonathan Nolan.
Au coeur de cette fiction baignant dans une ambiance à la Minority Report dans des États-Unis traumatisés par le 11 Septembre, cette machine repère les individus sur le point de commettre un crime ou d'en être victime.
Ces inédits voient John Reese (Jim Caviezel) sillonner le pays dans le but de retrouver Harold Finch (Michael Emerson), kidnappé par la mystérieuse pirate Root. Evitant la facilité souvent de mise dans les séries policières, Person of Interest n'offre pas de résolution immédiate. Mais on en apprend un peu plus sur le passé de Finch et la genèse de sa machine. Une intelligence artificielle touchante : trop fidèle à son maître, elle se fait « rééduquer » par Finch, qui la purge de tout favoritisme, pour qu'elle oeuvre au bien de tous. Ce qui désespère Reese qui ne peut pas compter sur l'invention pour pister son ami. À bout, l'ancien soldat engage un bras de fer avec la machine, alpaguant la première caméra de surveillance venue sous les yeux éberlués des passants.
Le huis clos entre Harold Finch et Root (Amy Acker) dessine des heures sombres. La jeune femme vindicative, hacker de génie, veut rendre sa liberté à la machine. Un ennemi de plus pour le duo Reese-Finch, déjà aux prises avec le gouvernement, la mafia et les policiers corrompus de New York. De quoi tisser une toile d'araignée encore plus complexe et captivante.
Au coeur de cette fiction baignant dans une ambiance à la Minority Report dans des États-Unis traumatisés par le 11 Septembre, cette machine repère les individus sur le point de commettre un crime ou d'en être victime.
Ces inédits voient John Reese (Jim Caviezel) sillonner le pays dans le but de retrouver Harold Finch (Michael Emerson), kidnappé par la mystérieuse pirate Root. Evitant la facilité souvent de mise dans les séries policières, Person of Interest n'offre pas de résolution immédiate. Mais on en apprend un peu plus sur le passé de Finch et la genèse de sa machine. Une intelligence artificielle touchante : trop fidèle à son maître, elle se fait « rééduquer » par Finch, qui la purge de tout favoritisme, pour qu'elle oeuvre au bien de tous. Ce qui désespère Reese qui ne peut pas compter sur l'invention pour pister son ami. À bout, l'ancien soldat engage un bras de fer avec la machine, alpaguant la première caméra de surveillance venue sous les yeux éberlués des passants.
Le huis clos entre Harold Finch et Root (Amy Acker) dessine des heures sombres. La jeune femme vindicative, hacker de génie, veut rendre sa liberté à la machine. Un ennemi de plus pour le duo Reese-Finch, déjà aux prises avec le gouvernement, la mafia et les policiers corrompus de New York. De quoi tisser une toile d'araignée encore plus complexe et captivante.
Labels: le figaro.fr
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