La France, un pays de cocagne
Un spectaculaire docu-fiction dans l'intimité de la faune et
de la flore.
C'est une contrée « bénie par la nature, aux terres riches, fertiles et
bien arrosées qui ont donné naissance à une diversité exceptionnelle ».
Mais de quel pays est-il donc question ? De la France dont Le Plus Beau Pays
du monde célèbre la richesse de la faune et de la flore.
Le documentaire s'inspire de la saga Afrique sauvage de la BBC, diffusée l'an dernier par France Télévisions. Comme son pionnier anglais, la production de Frédéric Fougea affiche de gros moyens : trois années de développement, sept mois de repérages, 130 jours de tournage et 350 heures de rushs tournés aux quatre coins de la France, des Vosges aux Alpes en passant par l'Île-de-France. Pour voir le monde à la hauteur de nos voisins à pattes et à plumes, les prises de vues ont été réalisées depuis des montgolfières, des drones et des ULM.
Le résultat est saisissant. On voit le brouillard s'immiscer dans les collines et la métamorphose d'une libellule au clair de lune. On vole aux côtés d'une famille d'oies sauvages. On se régale sur les pas d'un ours gourmet.
Le parti pris anthropomorphique infuse à ces scènes de la vie sauvage une atmosphère proche du conte, servie par le commentaire taquin de Guillaume de Tonquédec (Le Prénom). La bande-son, qui capte le moindre bruit, est précise et soignée. Imaginé comme un cadeau en cette période de fêtes, le rêve de Frédéric Fougea donne envie de se perdre en forêt dans l'espoir d'entrapercevoir un habitant de cet autre monde, bien plus ancien que le nôtre.
Le documentaire s'inspire de la saga Afrique sauvage de la BBC, diffusée l'an dernier par France Télévisions. Comme son pionnier anglais, la production de Frédéric Fougea affiche de gros moyens : trois années de développement, sept mois de repérages, 130 jours de tournage et 350 heures de rushs tournés aux quatre coins de la France, des Vosges aux Alpes en passant par l'Île-de-France. Pour voir le monde à la hauteur de nos voisins à pattes et à plumes, les prises de vues ont été réalisées depuis des montgolfières, des drones et des ULM.
Le résultat est saisissant. On voit le brouillard s'immiscer dans les collines et la métamorphose d'une libellule au clair de lune. On vole aux côtés d'une famille d'oies sauvages. On se régale sur les pas d'un ours gourmet.
Le parti pris anthropomorphique infuse à ces scènes de la vie sauvage une atmosphère proche du conte, servie par le commentaire taquin de Guillaume de Tonquédec (Le Prénom). La bande-son, qui capte le moindre bruit, est précise et soignée. Imaginé comme un cadeau en cette période de fêtes, le rêve de Frédéric Fougea donne envie de se perdre en forêt dans l'espoir d'entrapercevoir un habitant de cet autre monde, bien plus ancien que le nôtre.
Labels: le figaro.fr
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