« Thalassa » souffle le chaud et le froidLe magazine de la mer fait escale à Calvi avant de mettre le cap sur les pôles. Il sera difficile de ne pas rêver de vacances en Corse après ce numéro de « Thalassa ». Le magazine de Georges Pernoud part sur les sentiers de l'île de Beauté. Avant Ajaccio vendredi prochain, l'émission fait escale au nord de l'île à Calvi. Dans une succession de vues aériennes, belles cartes postales, « Thalassa » fait découvrir ses villages perchés et le littoral ainsi que ses plages à la mer azur qui ferait presque croire aux Caraïbes. Puis on sort des sentiers touristiques. L'équipe a obtenu l'autorisation exceptionnelle de filmer un équipage de bombardiers d'eau Canadair en action en pleine saison des incendies. Un ballet entre ciel et mer qui fait prendre conscience des risques quotidiens encourus par les pilotes. Un thriller à rebondissements Mêmes sensations fortes pour la destination lointaine de la semaine : les pôles. « Thalassa » ouvre l'étonnant journal de bord de deux Ulysses modernes. À l'été 2011, Sébastien Roubinet et Rodolphe André ont voulu traverser à la voile l'océan Arctique, sans ravitaillement, depuis Barrow en Alaska jusqu'aux îles norvégiennes du Spitzberg, en passant par le pôle Nord. Un voyage inédit de 3 000 km, à bord d'un catamaran monté sur skis, prêt à se transformer en char à neige pour glisser sur la glace. Leur odyssée se vit comme un thriller à rebondissements, filmé caméra à la main tel le Projet Blair Witch. Ours, tempête, avaries, rien n'est épargné à ces passionnés. Leurs larmes de rage quand les obstacles se font trop âpres ne peuvent laisser de marbre. On espère que l'on pourra dans un numéro futur observer le happy end que mérite leur périple.
Le magazine de la mer fait escale à Calvi avant de mettre le
cap sur les pôles.
Il sera difficile de ne pas rêver de vacances en Corse après ce numéro de «
Thalassa ». Le magazine de Georges Pernoud part sur les sentiers de l'île de
Beauté. Avant Ajaccio vendredi prochain, l'émission fait escale au nord de l'île
à Calvi.
Dans une succession de vues aériennes, belles cartes postales, « Thalassa » fait découvrir ses villages perchés et le littoral ainsi que ses plages à la mer azur qui ferait presque croire aux Caraïbes. Puis on sort des sentiers touristiques. L'équipe a obtenu l'autorisation exceptionnelle de filmer un équipage de bombardiers d'eau Canadair en action en pleine saison des incendies. Un ballet entre ciel et mer qui fait prendre conscience des risques quotidiens encourus par les pilotes.
Leur odyssée se vit comme un thriller à rebondissements, filmé caméra à la main tel le Projet Blair Witch. Ours, tempête, avaries, rien n'est épargné à ces passionnés. Leurs larmes de rage quand les obstacles se font trop âpres ne peuvent laisser de marbre.
On espère que l'on pourra dans un numéro futur observer le happy end que mérite leur périple.
Dans une succession de vues aériennes, belles cartes postales, « Thalassa » fait découvrir ses villages perchés et le littoral ainsi que ses plages à la mer azur qui ferait presque croire aux Caraïbes. Puis on sort des sentiers touristiques. L'équipe a obtenu l'autorisation exceptionnelle de filmer un équipage de bombardiers d'eau Canadair en action en pleine saison des incendies. Un ballet entre ciel et mer qui fait prendre conscience des risques quotidiens encourus par les pilotes.
Un thriller à rebondissements
Mêmes sensations fortes pour la destination lointaine de la semaine : les pôles. « Thalassa » ouvre l'étonnant journal de bord de deux Ulysses modernes. À l'été 2011, Sébastien Roubinet et Rodolphe André ont voulu traverser à la voile l'océan Arctique, sans ravitaillement, depuis Barrow en Alaska jusqu'aux îles norvégiennes du Spitzberg, en passant par le pôle Nord. Un voyage inédit de 3 000 km, à bord d'un catamaran monté sur skis, prêt à se transformer en char à neige pour glisser sur la glace.Leur odyssée se vit comme un thriller à rebondissements, filmé caméra à la main tel le Projet Blair Witch. Ours, tempête, avaries, rien n'est épargné à ces passionnés. Leurs larmes de rage quand les obstacles se font trop âpres ne peuvent laisser de marbre.
On espère que l'on pourra dans un numéro futur observer le happy end que mérite leur périple.
Labels: le figaro.fr